Avec AlShe/Me, Linda Hayford approfondit sa recherche sur la métamorphose et la transformation physique. Dans cette pièce pour (et avec) un frère et une soeur, la notion de l’influence de l’autre sur soi, qu’elle soit subie ou non, ressentie ou intériorisée, devient centrale.

Performance chorégraphique éphémère, Apaches est un spin off de la création Wild Cat de Saïdo Lehlouh. Hors ou au plateau, en solo et en groupe, Apaches convoque en un même lieu et instant des danseurs, longtemps considérés comme à la marge. Ce projet se décline sous forme participative afin de l’enrichir et le faire vivre avec différents publics.

Dans Basic, Ousmane Sy propose d’explorer les multiples influences et énergies des danses de club.

Dans l’esprit de son concept All 4 House, regroupant divers événements de danse hip hop autour de la house music, la Conférence dansée d’Ousmane Sy réunit des danses de club et de l’afro-house.

À travers ce duo, Bouzid Ait Atmane et Yanka Pédron nous font partager le parcours d’un danseur hip hop dans le milieu des battles, de la salle de training au défi.

Santiago Codon Gras propose une relecture contemporaine de l’Enfer, première partie de la Divine Comédie de Dante. Divin@media.com questionne la place des médias dans nos vies, les libertés qu’ils nous offrent comme celles dont ils nous privent.

Du free jazz à l’électro, Earthbound célèbre la richesse d’une scène hip hop underground rebelle et festive. Johanna Faye et Saïdo Lehlouh cherchent à exposer toute l’étendue du hip hop : ses nombreuses esthétiques, les cultures et les façons d’être qui en découlent et qui s’expriment à travers la danse. La personnalité de chaque interprète est la clé de…

Les grandes villes sont le reflet de notre société. Avec Fact, Johanna Faye et Saïdo Lehlouh veulent montrer comment notre environnement, l’architecture, le flux ont un impact sur notre identité.

Dans Fighting Spirit, première création du groupe Paradox-Sal, les danseuses transcendent les codes de leurs différentes gestuelles avec pour enjeu d’atteindre la liberté d’un style.

De nos jours les représentations de la danse hip hop sont multiples. Hip hop, ou bien rap, breakeur, smurfeur, b-boying, popping… Comment nommer les modes d’expressions d’une culture galvaudée ? Dans cette proposition, le sujet c’est la danse avec son vocabulaire et sa grammaire conjugués au présent et au passé.

Un personnage candide en marge, qui évolue à contrecourant et tente de trouver sa voie, de comprendre la machine à intégrer. Un corps qui se disloque, se cherche, essaie de se ranger dans une case alors qu’il n’y a pas de limite à cet espace…

Sur un manège en mouvement, six interprètes dessinent une chorégraphie de l’instant qui joue sur l’illusion d’optique et convoque poétiquement les souvenirs de l’enfance.

Huit femmes se partagent la scène, affirmant haut et fort leur singularité créative et leur gestuelle originale nourrie d’influences multiples, sur un mix musical de house dance et d’afrobeat.

À partir de la Passacaglia de Heinrich Bieber, Fabien Boudot, violon super soliste de l’Orchestre National de Bretagne, et Iffra Dia, danseur et chorégraphe, membre du Collectif FAIR-E, se retrouvent dans un lieu impromptu.

Queen Blood invite plusieurs danseuses du groupe Paradox-Sal à bousculer leurs acquis techniques, à questionner leur rapport au geste et à la performance afin de rendre palpable ce que revêt, pour elles, la notion de féminité. Construit à partir des parcours et expériences personnels de chacune d’elles, Queen Blood est un concentré intime et vibrant…

Dans R1R2 Start, monde réel et mondes virtuels de différentes époques se rencontrent sur scène et retracent 30 ans de culture populaire issue des mondes du jeu vidéo, où les personnages cultes de la culture geek sont détournés avec humour.

Une introspection partagée dans le processus de guérison via le dépassement de soi. Trois interprètes deviennent les vecteurs de ces états et se dépassent de manière aléatoire.

Dans cette introspection audacieuse, accompagnée par l’univers sonore du compositeur Abraham Diallo, Linda Hayford invite le public à ressentir les états qui la traversent et nous livre ainsi son premier solo.

Forme chorégraphique sous tension, Wild Cat met en avant l’un des styles fondateurs de la danse hip hop – le b-boying – dont la réappropriation technique et esthétique par la scène française rappelle la façon précise et délicate de bouger d’un chat.